Le nombre de soldats tués dans les attaques menées par le groupe terroriste Boko Haram le 25 mars, dans l'État de Borno, au nord-est du Nigeria, est passé à 16, selon les médias locaux, citant des sources militaires.
D'après ces sources, les terroristes de Boko Haram ont attaqué des bases militaires situées dans les régions de Wajirko et Wulgo, causant la mort de 11 soldats supplémentaires, ce qui porte le bilan total des pertes à 16 militaires.

41 otages sauvés lors d'une opération antiterroriste.
À la suite de ces attaques, l'armée nigériane a lancé des opérations contre Boko Haram, éliminant de nombreux membres du groupe terroriste.
Présent au Nigeria depuis le début des années 2000, Boko Haram a intensifié ses actions violentes à partir de 2009, causant la mort de dizaines de milliers de personnes.
Les attaques et les affrontements liés au groupe terroriste ont contraint des centaines de milliers de personnes à fuir leur domicile.

Les violences commises par Boko Haram et sa ramification connue sous le nom d'ISWAP ont tué des milliers de personnes et en ont déplacé des millions d'autres depuis 2009.
Depuis 2015, Boko Haram mène également des attaques dans les pays voisins du Nigeria, notamment le Cameroun, le Tchad et le Niger.
Dans le bassin du lac Tchad, ces attaques ont fait au moins 2 000 morts.